Steve Nash

#13 | Steve Nash



Né le 7 février 1974 à Johannesburg en Afrique du Sud
Nationalité : Canadienne
Taille : 1m90
Poids : 83 kg
Poste : Meneur de Jeu
Université : Santa Clara
Draft : 1996 Phoenix Suns 15ème choix
Team : Phoenix Suns
Salaire 2006/2007 : 10.500.000 $




Biographie :

Steve Nash à grandi à Victoria, Colombie-Britannique, au Canada. Dans l'équipe de basket de son école secondaire, il joue au poste de pivot, avec son frère, Martin Nash, aujourd'hui footballeur professionnel.

Nash rejoint l'université de Santa Clara, où il est nommé à deux reprises joueur de l'année de la Conférence de la côte ouest. Durant l'été, il joue pour l'équipe nationale du Canada.

Steve Nash est sélectionné en 15e position lors de la draft NBA de 1996 par les Suns de Phoenix, devenant ainsi le canadien le plus rapidement sélectionné de l'histoire de la NBA lors de la draft. Étant seulement le 3e meneur de l'équipe après Kevin Johnson et Jason Kidd, Nash enregistre de faibles statistiques lors de sa première saison (3 points et 2 passes décisives de moyenne en 10 minutes par match). Mais avec Johnson en fin de carrière, Nash voit son temps de jeu augmenter la saison suivante, faisant de lui un remplaçant de valeur avec 9 points et 3 passes décisives de moyenne. L'équipe est performante avec 56 victoires en saison régulière, mais est battue au premier tour par San Antonio.

Mais les Suns, qui ont déjà Jason Kidd, décident d'envoyer Nash aux Dallas Mavericks durant l'intersaison 1998 contre Martin Müürsepp, Bubba Wells, les droits de repêchage de Pat Garrity, et un futur choix de draft qui sera utilisé pour selectionner Shawn Marion. Les Mavericks ont remporté 36 victoires de moins que les Suns, mais sont en pleine reconstruction sous l'égide de Don Nelson, qui a eu le flair de faire venir Nash sans contrepartie de valeur - choix de draft mis à part -.



Nash a enfin la possibilité d'être titulaire, mais il n'est que le sixième marqueur de l'équipe (8 points de moyenne).

La saison 1999-2000 est encore difficile pour Nash, si les Mavericks retrouvent le chemin de la victoire (avec 40 matchs remportés), Nash doit partager sa place de titulaire avec Robert Pack.

La saison 2000-01 sera celle de la révélation pour Nash : il passe à 15 points et 7 passes décisives de moyenne, et est l'un des artisans du succès de l'équipe qui remporte 50 matchs et bat le Jazz de l'Utah au premier tour des play-offs.

Ses performances s'améliorent encore durant les deux saisons suivantes, tandis que Dallas, équipe redoutable sur le papier, fait toujours de très bonnes saisons régulières avant d'être rapidement éliminé en série éliminatoires.

En juillet 2004, à la fin de son contrat avec Dallas, Steve Nash rejoint l'équipe de ses débuts : les Suns de Phoenix, avec un contrat de 5 ans et 65 millions de dollars à la clé.

Il devient le chef d'orchestre d'une équipe aussi jeune que talentueuse. Les Suns font un bond de 33 victoires par rapport à la saison précédente. Non qualifiée la saison précédente, Phoenix fut en 2005 la meilleure équipe de la ligue. Nash semble donner du rythme et trouver l'alchimie correcte entre Amaré Stoudemire, Quentin Richardson, Shawn Marion, Joe Johnson et lui-même. Meilleur passeur de la ligue, il est nommé MVP de la saison régulière. Ses 15,5 points par match sont le 3e plus faible total de l'histoire de la ligue pour un MVP, preuve que ce trophée lui a été décerné pour son apport collectif, au-delà de ses performances individuelles.

En 2006, il garde ce trophée et réussit même à être le meilleur passeur de la NBA, avec une moyenne de 10,5 passes décisives par match.

Il emène une équipe jeune est dynamique grace à son expérience, malgrè la trentaine passé Steve a encore de beaux jours devant lui!

Joueur collectif et sérieux on le voit touche à tout aussi bien sur la classe au hockey, que sur l'herbe avec Thierry Henry jouer au foot!



Palmarès :

Meilleur joueur (MVP) du championnat 2004/2005 et 2005/2006
Elu dans le All-NBA First Team (équipe type de la ligue) en 2005 et 2006
Elu dans le All-NBA Third Team (troisième équipe type de la ligue) en 2002 et 2003
Sélectionné pour le All-Star Game en 2002, 2003, 2005 et 2006
Meilleur passeur de la NBA au nombre de passes sur la saison en 2005 (861) et 2006 (826)
Meilleur passeur de la NBA à la moyenne de passes par match en 2005 (11,5) et 2006 (10,5)
Joueur le plus adroit de la ligue aux lancers-francs en 2006 (92,1% de réussite)

wikipedia.fr

Sympa pour ce joueur très apprécié sur le forum.

Faudrait la reposter dans le musée cette bio.

What was the biggest obstacle you overcame to reach the NBA?

Steve Nash: I am not really sure what my biggest obstacle was. I guess just the numbers. You have to separate yourself from thousands and thousands of people throughout the world playing basketball. I guess I did it by working harder than other people and believing in myself.
Finish this sentence: "Growing up, the basketball court was my..."
SN: It was my outlet, to challenge myself and to be creative.

To what lengths would you go for a chance to play basketball, even if it were to just to shoot around?

SN: I don't know what kind of lengths, but I definitely would find a way to shoot everyday. No matter what I would find a way. I don't know to what lengths I would go to.

Who was your basketball hero and why?

SN: My heroes were Isiah Thomas, Michael Jordan, Magic Johnson. I think they were just so competitive and creative. Especially Isiah, he was somebody that wasn't very tall. He had played the game mostly on the floor and it made me feel that I could find a way to do the same.



What is your favorite childhood basketball memory?

SN: All my favorite memories as a kid playing basketball were just playing with my friends, playing one-on-one, two-on-two, three-on-three with my school friends that were on my team. They were my best friends. We played everyday. Those are my favorite memories.

Best piece of basketball advice you received was...

SN: One very valuable piece of advice an ex National Team player in Canada, who was a last cut on a couple NBA teams, told me when I was going into 12th grade that I should decide and make it a goal that I want to play in the NBA. Decide that day and it make it a goal that I am going to play in the NBA. I think me deciding instead of just going to college and seeing if I could make it, deciding that day that I was going to college and then making the NBA, I think it helped manifest those thoughts.


What advice would you give to someone who aspires to play in the NBA?

SN: I think you have to work extremely hard. You have to be creative and you have to make it fun. You have to be creative enough to expand your game. But you also have to be creative enough to find new ways to inspire yourself and make it enjoyable so you do want to get out there everyday and work hard and find a way to do more and more and more. And continue to push the envelope with how hard you work and how you can separate yourself from all the other players.

How old were you when you received your first basketball and what did it feel like to have your very own?

SN: I started playing basketball when I was 12 or 13. So I must have been 13 when I got my first ball. It felt good. It felt like a new friend.



When did you realize you had serious game?

SN: I was pretty good right away because when you are 12 or 13 it is more about what other sports you've played. If you are good at other sports you can translate it easily to any sport at that age. I realized when I was about 13 or 14 that I had a chance to be a really good player.

Did it ever strike you in the middle of a game in front of a packed house, "Man, I can't believe I'm here... "

SN: Not so much now in the games, but every once in a while, more and more rarely, but every once in while, I will realize how far I have come and that will be enough to shake my head at what is my reality now-a-days, as opposed to dreaming of this reality as a kid and it seeming so far away.

How proud is your family that you made it to the NBA?

SN: I think they are really proud. I think they realize how hard I worked. They saw me going out there and shooting all hours of the days and night, shooting in the rain, dribbling in the garage. They realize how much time I put into it. I think that they are proud not so much that I made it but more because they know it took a lot of hard work.

nba.com