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 Ben Gordon ,le James Bond des Parquets

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McGrady
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MessageSujet: Ben Gordon ,le James Bond des Parquets   Ben Gordon ,le James Bond des Parquets Icon_minitimeSam 2 Juin - 22:29

Benjamin (Ben) Gordon est né le 04 Avril 1983 à Londres de parents jamaïcains qui ont émigré aux Etats-Unis alors qu’il n’avait que 3 semaines. De son Angleterre de naissance dans laquelle il n’a jamais vécu et dont il ne possède aucunes racines, il a hérité d’un flegme et d’une classe toute britannique. Ben Gordon c’est le « gentleman » de la NBA. Il suffit de remplacer le Walther P99 par un Spalding alors l’homme en smoking arborant un sourire racé ressemble à si méprendre au plus parfait des James Bond, le permis de tuer les méchants étant échangé par l’autorisation de flinguer les équipes adverses. Malheureusement pour celles et ceux qui fréquentent les salles obscures, il y a fort à parier que ce n’est pas demain qu’ils admireront Ben Gordon dans le rôle de l’agent secret le plus efficace de sa Très Gracieuse Majesté. Par contre, compte tenu de son jeune âge (24 ans), nous devrions pouvoir bénéficier de ses éblouissants services de « basketteur-killer » pour une petite dizaine d’années encore.



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Admirateurs de bons mots, de jolies phrases et de beaux gestes, nous admettons aisément ne point trop apprécier lorsqu’il s’agit de nous exprimer via des chiffres pour argumenter la valeur d’un joueur ou d’une équipe. De nature, il est effectivement plus agréable à notre cœur d’envisager la rencontre à travers les sons mélodieux d’une description soignée que grâce à des suites épuisantes de statistiques. Du talent naît notre admiration qui engendre ensuite des émotions et des sentiments se traduisant en lettres et non pas en étude de rentabilité.


Hélas en basket, comme dans la plupart des sports, la valorisation d’un individu est synonyme d’efficacité se définissant en fonction des performances chiffrées. Nous sommes donc contraints d’user de cette coutume ordinaire pour appuyer nos propos.


Aujourd’hui, toutefois, c’est avec un plaisir inouï que nous allons abuser du calcul en complément de la rédaction afin d’étaler au grand jour les prouesses coutumières d’un artiste presqu’invisible mais qui, dans son intelligente transparence, sait magnifiquement mener son troupeau dans les grandes prairies vertes du succès.
Régulièrement les magazines de presse ou les reportages télévisés nous font l’éloge logique des légendes tels que Shaquille O’Neal, Kobe Bryant ou Allen Iverson, des grands joueurs presque mythiques comme Kevin Garnett, Tim Duncan ou Steve Nash, des jeunes loups très doués alias LeBron James, Dwyane Wade ou Carmelo Anthony… Parfois, ponctuellement, nous pouvons avoir la chance de découvrir un article ou deux sur Gilbert Arenas, Amare Stoudemire ou autre Tracy McGrady, de vrais génies qui accèdent depuis peu au statut de stars.


Désormais, il nous est également dévoilé la virtuosité des nouveaux prodiges tels Chris Paul, Chris Bosh et Dwight Howard. Néanmoins, en dépit de tout l’intérêt que nous portons à ces champions, nous regrettons sincèrement qu’une catégorie de basketteurs pourtant méritante, car indispensable sans éclater les compteurs, soit quasiment oubliée. Les spécialistes remarquent, et c’est compréhensif, d’abord les très gros potentiels qu’ils encensent ou les « nuls » qu’ils descendent en flèche. Dans la moyenne, c’est-à-dire l’immense majorité, c’est le flou artistique. Que connaissons-nous des réelles aptitudes et du parcours de Tayshaun Prince, Antawn Jamison ou Raja Bell ? Peut-être pas assez « people » ou « bad boys »… Malgré tout, c’est continuellement, que ces joueurs participent activement à la réussite de leur formation.


Au rayon des « délaissés » des pages glacées, de ces virtuoses insaisissables, nous avons déniché une perle : Ben Gordon. Un physique bien proportionné (1m91 pour 91kg), un beau visage, doux et puissant à la fois, il pourrait être la vedette d’une nouvelle série policière, future grande star des écrans s’affichant au bras de somptueux top-models. Perdu ! Il hante les parquets de NBA et expose ses superbes muscles en marquant des paniers ! Moins glamour que de remonter les tapis rouges d’Hollywood en magnifique costume Ralph Lauren mais, nous, on le préfère s’activant avec un ballon orange sur des sols cirés.


Benjamin (Ben) Gordon est né le 04 Avril 1983 à Londres de parents jamaïcains qui ont émigré aux Etats-Unis alors qu’il n’avait que 3 semaines. De son Angleterre de naissance dans laquelle il n’a jamais vécu et dont il ne possède aucunes racines, il a hérité d’un flegme et d’une classe toute britannique. Ben Gordon c’est le « gentleman » de la NBA. Il suffit de remplacer le Walther P99 par un Spalding alors l’homme en smoking arborant un sourire racé ressemble à si méprendre au plus parfait des James Bond, le permis de tuer les méchants étant échangé par l’autorisation de flinguer les équipes adverses. Malheureusement pour celles et ceux qui fréquentent les salles obscures, il y a fort à parier que ce n’est pas demain qu’ils admireront Ben Gordon dans le rôle de l’agent secret le plus efficace de sa Très Gracieuse Majesté. Par contre, compte tenu de son jeune âge (24 ans), nous devrions pouvoir bénéficier de ses éblouissants services de « basketteur-killer » pour une petite dizaine d’années encore.


Ben Gordon, actuellement, c’est 25.5 points, 7 rebonds et 8 passes décisives en moyenne par match. Avec une efficacité évaluée à 26 c’est actuellement le 7° meilleur joueur de la NBA en post-saison. Pourtant qui le connaît vraiment ? Qui peut affirmer que, dans sa mémoire de fan, Ben Gordon dispose d’appréciations semblables à celles destinées à Dirk Nowitzki, Steve Nash, Carmelo Anthony ou Allen Iverson pourtant classés derrière lui ? En toute sincérité, peu peuvent se targuer de bien cibler les capacités et l’actualité de Ben Gordon. D’abord c’est trop difficile, nous persistons et signons, il a un nom d’acteur… Pure coïncidence, certes, mais il existe vraiment un comédien nommé Ben Gordon… Bon, le nôtre ne l’est pas et nous oublions définitivement la perspective qu’il puisse décrocher un Oscar un jour… Alors, oui, il est basketteur… Ah oui, Ben Gordon ! Dans cette médiocre Conférence Est… Quelque part entre New York et Detroit… Chicago, oui, Chicago, les Bulls… Les taureaux dans les verts pâturages au printemps… Ben Gordon, le berger invisible des bovins écarlates de l’Illinois… Mais bien sûr ! On en a déjà entendu parler… C’est celui qui tranche à côté de la masse de désabusés, paresseux, anesthésiés et autres endormis qui déambulent à travers la pitoyable Conférence Est des States… Sérieusement… D’abord, toutes nos excuses aux valeureux joueurs de la Conférence Est car toutes ces remarques désobligeantes ne se sont couchées sur notre papier qu’uniquement pour prouver que le soleil ne brille pas qu’à l’Ouest, que des étoiles cachées scintillent également à l’Est, qu’il suffit juste de soulever le voile pour constater combien leurs compétences sont éblouissantes.


Dernière édition par le Sam 2 Juin - 22:34, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Ben Gordon ,le James Bond des Parquets   Ben Gordon ,le James Bond des Parquets Icon_minitimeSam 2 Juin - 22:29

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Convaincus comme il se doit qu’un astre prédisposé pour le basket illumine le ciel de Chicago, ou tout au moins les parquets du United Center, nous retrouvons notre héros, guide de troupeau, appelé Ben Gordon.


Né en Angleterre de parents venus d’une île de la mer des Caraïbes, Ben Gordon aurait pu choisir le football comme David Beckam ou le bobsleigh des Rasta Rockett mais non il opta pour le basket de Michael Jordan… Allons savoir pourquoi… Parce qu’il aimait et qu’il était doué, insensé, nous murmure Jiminy Cricket à l’oreille…
Ben Gordon, donc, passionné de basket car vénérant His Airness, débute cette discipline au sein des Knights, formation de sa high-school de Mount Vernon, ville de l’Etat de New York où il réside. Dès son entrée en matière il frappe fort. Il est cité au Top 40 des meilleures recrues nationales… Joueur de l’Etat avec sa High-school… 2 fois Mr Baskettball de Weschester County… 2 fois Joueur de l’Année élu par le « Journal News » et 2 fois par le « Daily News »… Nous n’en sommes qu’à l’équivalent du niveau lycée français, que les honneurs pleuvent déjà à la pelle. En contrepartie, il est logique d’avouer que l’adolescent scorait 24.1 points, prenait 4.9 rebonds, effectuait 5.4 passes décisives et 3.6 interceptions de moyenne par match. Il avait également des pourcentages de réussite aux tirs à couper le souffle : 53% à 2 points, 39% à 3 points et 80% pour les lancers francs. Il totalisa 1756 points durant son séjour scolaire, permettant à son effectif de battre les champions de New York Class A et d’afficher un bilan de saison junior de 28-0. Durant les 15 matches de post-saison il s’octroya même des améliorations de scores avec une moyenne de 27.3 points. La reconnaissance de ses pairs prend de l’ampleur. Les distinctions continuent à s’accumuler. Alors qu’il assiste au camp d’été Adidas ABCD, il remporte le concours à 3 points en 2000 et est sélectionné en tant que senior au all-star game. Par la suite, en Décembre 2000, il gagna le concours de dunk du « Beach Ball Classic », tournoi créé par Dan d’Antoni (frère de Mike d’Antoni, coach des Suns) qui a lieu tous les ans en Caroline du Sud. Enfin, il représenta les USA lors des Jeux Albert Schweitzer organisés en Allemagne et remporta la prestigieuse récompense « CondEd Weschester » qui gratifie les mérites du plus valeureux athlète scolaire.



Lors de la saison 2001-2002, Ben Gordon commença son cursus universitaire au sein de la prestigieuse université du Connecticut et intégra le collectif de UConn. Bien qu’atteignant un niveau supérieur tant dans la qualité du jeu dispensé que des adversaires affrontés, il est loin de passer inaperçu. Tout d’abord il participe à la totalité des 34 rencontres durant lesquelles il réalise 22 doubles-doubles. Ses moyennes sont de 12.6 points, 2.7 rebonds et 3.1 assists. Il réussit 62 lancers à 3 points soit 41.3% de shoots aboutis. Ses aptitudes lui permettent d’être retenu dans la team du BIG EAST All-Rookie et d’être sélectionné pour le tournoi ConAgra Foods BIG EAST de 2002. Lors de cette épreuve, il tourne à 17.6 points et 3.6 passes décisives de moyenne, scorant même 23 points à 4 reprises. Par 2 fois il est élu Rookie de la semaine du BIG EAST et lors du banquet de l’équipe il se vit décerner le titre de MIP récompensant le joueur ayant le plus évolué au cours de la saison écoulée.



En 2002-2003, Ben Gordon entame son année de sophomore. Il prend part aux 33 matches de la saison jouant aussi bien en tant que meneur (point guard) qu’en qualité d’arrière (shooting guard). En moyenne il atteint 19.5 points, 4.7 assists et 4.2 rebonds par match. Au final de chaque rencontre il rend sa copie avec 20 points minimum à 17 reprises. Tout naturellement le voilà reparti pour le tournoi ConAgra Foods BIG EAST de 2003 dont il termine 7° meilleur scoreur, 5° passeur et 1° pour son pourcentage de tirs à 3 points. Par ailleurs, compte tenu de ses capacités, il est retenu au sein de l’équipe All-Northeast Region par Basketball Times ainsi que dans les cinq de base de la NABC (Association Nationale des Coaches) et de la USBWA All-District I (Association de journalistes sportifs).
En 2003-2004, Ben Gordon achève son parcours universitaire à Connecticut – qui a, en autre, compté sur ses bancs Denzel Washington, Dick Clark (producteur de cinéma) et P.Diddy - dont il sort diplômé en Administration des Affaires (niveau licence en France). Côté parquets, il apparaît dans les 67 matches de la saison, score 1072 points soit une moyenne de 18.5 par rencontre ainsi que 261 passes décisives (4.5 par match) et 231 rebonds (4.7 par match). Pour agrémenter le spectacle, il réalise le double-double par 54 fois, dépasse la marque des 20 points à 22 reprises dont 2 récidives à 30 points et plus… Son pourcentage de réussite dans les tirs à 3 points (41.6%) le place en 2nd position de toute l’histoire de UConn derrière Ray Allen. Pour son ultime apparition au tournoi de BIG EAST, il totalise 81 points ce qui lui offre l’opportunité de glaner les honneurs de Joueur ayant effectué la plus belle percée. Il rafle une récompense identique lors du tournoi NCAA de Phoenix dont il achève la compétition avec 127 points, ce qui aida fortement sa formation (dont l’un des membres les plus illustres est Emeka Okafor) à battre les Huskies de Washington en championnat NCAA. Au terme de son année de junior, Ben Gordon se déclare éligible pour la draft NBA de 2004 (comme Emeka Okafor).
Alors qu’il se présente à la draft, Ben Gordon espère être sélectionné entre la 7° et 12° place. Il est choisi en 3° position (comme Michael Jordan, 20 ans plus tôt) par les Chicago Bulls, juste derrière Dwight Howard et Emeka Okafor (toujours lui…). Considérant les similitudes de sa draft avec celle de His Airness, Ben est rapidement surnommé « Air Gordon ». Viscéralement attaché aux symboles que renvoient les chiffres, Ben Gordon s’est toutefois ponctuellement retrouvé dans une impasse lorsqu’il s’est agi de se prononcer sur son numéro de jersey au sein des Bulls : depuis ses débuts il avait adopté le 4 mais ce dernier, en hommage à Jerry Sloan, appartient aux maillots retirés par la franchise. Que cela ne tienne, il opte pour la somme de son 4 initial avec le 3 de sa position de draft soit son 7 actuel.




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Lors de la saison 2004-2005, Ben Gordon affiche des moyennes de 15.1 points, 2.6 rebonds et 1.9 assists alors qu’il ne joue que 24.2 minutes. Ses performances permettent aux Bulls de retrouver la voie des playoffs qu’ils n’avaient plus empruntée depuis 1998 après le départ de Michael Jordan. A la fin de la saison régulière il devient le premier rookie à être élu Meilleur Sixième Homme de l’année. Auparavant, en Janvier, Février et Mars, il avait été désigné comme Rookie du mois pour la Conférence Est et faisait aussi partie de la First Team du NBA All-Rookie du All-Star Weekend de Denver. Pour sa première participation aux playoffs, le 24 Avril 2005, contre Washington, il joue 33 minutes et marque 30 points avec 11 sur 19 aux tirs. Le 04 Mai, toujours face aux Wizards, il score 27 points, prend 4 rebonds et réalise 5 passes décisives en 34 minutes de jeu.
Pour la saison 2005-2006, il participe à 80 matches dont 47 dans le cinq de base. Ses statistiques renvoient 16.9 points, 3 assists, 2.7 rebonds pour 31 minutes jouées en moyenne par match. Il est sélectionné au sein de l’effectif des Sophomores lors du T-Mobile Rookie Challenge durant lequel il inscrit 17 points et effectue 3 interceptions en 25 minutes. Le 02 Avril, contre les Phoenix Suns il enregistre un premier record de carrière en validant 39 points. Le 14 Avril, face aux Washington Wizards, il est parfait aux tirs à 3 points en exécutant un 9/9. Il décroche ainsi sa nomination de Joueur de la Semaine pour la Conférence Est le 17 Avril. Lors des playoffs de 2006, contre le Heat de Miami, il affiche 21 points, 3.3 rebonds, 3 passes décisives et une interception de moyenne pour 44.5 minutes de jeu. Lors du Game 1, il atteint 35 points avec un 5/10 aux tirs à 3 points.



Sur la saison 2006-2007 qui vient de s’achever, Ben Gordon a poursuivi son petit bonhomme de chemin en participant à l’intégralité des 82 matches avec une durée de jeu moyenne de 32.9 minutes pour 21.4 points, 3.1 rebonds et 3.6 assists. Ce qui lui a conféré une efficacité générale de 16.5, efficacité qui peut être largement améliorée lorsque l’on constate que l’énergumène est apte à scorer 48 points, comme contre les Milwaukee Bucks le 04 Mars. Toutefois, il est significatif que, telle la majeure partie des basketteurs en NBA, l’essentiel pour Ben Gordon est, selon toute vraisemblance, de parvenir aux playoffs et ce « entier » et debout, contrairement à Gilbert Arenas. En conséquence, c’est lors de cet évènement prépondérant que les réelles valeurs des joueurs se révèlent. Pour Ben Gordon c’est un réveil dynamique : 43.5 minutes de jeu, 25.5 points, 7 rebonds et 4 assists. Cela booste évidemment son efficacité à 26 soit + 9.5. Ces écarts de valeur somme toute substantiels risquent d’avoir entraîner une sous-évaluation des franchises de la Conférence Est très lentes, « endormies », cool, zen, ou tout ce que l’on souhaite, durant la saison régulière mais qui, lorsqu’arrivent les playoffs, cherchent et peuvent se donner à 200% tandis que les formations de la Conférence Ouest (hormis les Spurs) ont cartonné toute l’année en dépensant un maximum de leurs réserves d’énergie…



Pour notre part, le duo Ben Gordon-Luol Deng est terriblement dangereux ! Nous avons précédemment signifié la belle évolution de l’efficacité de Ben Gordon mais celle du Soudanais est encore plus révélatrice : de 20.1 en saison régulière, il est passé à 32.5 avec les 2 premiers matches des playoffs contre le Heat de Miami. Enorme !


Pause repos pour les chiffres… Ben Gordon ce n’est pas simplement un meneur pour les Bulls, une machine à marquer. Sous son torse bien musclé se cache aussi un cœur généreux. Il s’investit notamment :


- Au sein du programme « Read to Achieve », qui met l’accent sur l’utilité de la lecture et par la même les études.

- Avec ses partenaires des Bulls, il sert des repas dans le cadre d’une mission qui vient en aide aux sans-abris.

- En distribuant des cadeaux aux enfants du Martin Luther King Boys and Girls Club.


Dans sa ville de Mount Vernon est organisée tous les ans une journée en son honneur, le « Ben Gordon Day in the Park », sponsorisé par la municipalité et le Mount Vernon Boys and Girls Club. Ben y accueille un camp pour les jeunes qui aspirent à s’affirmer dans le basket et les aide pour tenter de réaliser leur rêve. D’autres camps ayant la même ambition sont organisés à de multiples reprises au cours de l’année.


Celui qui est également surnommé « Gentle Ben » ou « Madison Square Gordon » est aussi le créateur d’une boisson énergétique, la « BG7 », composée à base de thé blanc.


Ben Gordon croit aux pouvoirs des chiffres, est très attaché aux signes, aux coïncidences, qui surgissent dans l’existence. Il admire depuis toujours Michael Jordan, a été drafté en 3° position aux Bulls comme Michael Jordan, alors si avec Luol Deng il nous faisait un remake du duo Jordan-Pippen ?


Remake ?... Film, acteur… Acteur ? Il aurait du être acteur…

« - Je te dis qu’il est basketteur… une fois pour toute, il est basketteur ! » nous hurle Jiminy Cricket…





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