Tony Parker, un parcours exceptionnel

Tony Parker, un parcours exceptionnel

Tony Parker est un joueur de basket français, jouant depuis quelques années dans la franchise NBA des San Antonio Spurs. Baller Life vous propose de découvrir ou de redécouvrir ce basketteur de 24 ans.

Tony William Parker est né en Belgique à Bruges le 17 Mai 1982 d'un père américain et d'une mère néerlandaise.
Il a eu une jeunesse assez mouvementée. Quand il était jeune, il a fait du chemin avec sa famille, car son père, changer souvent de club de basket français.
Tony a commencé par le football, "Je jouais avant-centre, j'adorais marquer des buts".
Puis durant des vacances à Chicago en famille, TP ses frères et son oncle sont allés voir un entrainement des Bulls, c'est à partir de là que notre frenchie national a eu le déclic. Ce moment fut magique pour la famille Parker.

Après de belles vacances en Illinois, Tony est bel et bien décidé à jouer au basket en club. Vu sa petite taille il est donc obligé de jouer meneur de jeu un poste qu'il ne regrette pas, et bien au contraire il est content d'avoir ce poste, "Je suis meneur, un poste clé parce que c'est toi qui t'occupes de tout. Victoire ou défaite dépendent de ta performance. C'est toi qui annonces les systèmes, qui décides d'accélérer, de ralentir, tu as tout le temps la balle en main", "J'aime bien avoir de la pression. Y compris celle des médias. C'est comme ça que tu te surpasses". Il commence sa carrière amateur à Fécamp (1992-1993), puis Déville-lès-Rouen (1994-1996), par la suite il fait un détour à Mont-Saint-Aignan (1996-1997), avant d'intégrer le Centre Fédéral de l'INSEP (1997-1999).
Jusqu'à ce que le Paris Basket Racing lui offre son premier contrat professionnel. Il passera deux saisons dans la capitale.

Et c'est en 2001 que Tony s'inscrit à la draft NBA, il est drafté par les San Antonio Spurs en 28ème position.
TP à ce moment là est très fier de lui, après avoir signé un contrat NBA il revient sur les jeunes français "Pour tout basketteur, le rêve c'est de jouer en NBA. C'est là qu'il y a les meilleurs joueurs. En France, tu parles aux gamins, ils connaissent tous les mecs de la NBA, pas un seul de Pro A. Et puis, même si ce n'est pas le principal, il faut savoir que le plus mauvais en NBA gagne autant d'argent que le meilleur français. Et sans les impôts…"

Tony Parker est doublement heureux car il va jouer en NBA et dans l'équipe dans laquelle il voulait jouer, "C'est l'équipe dans laquelle je voulais évoluer. Elle fait partie des trois meilleurs équipes de la NBA et dans leur effectif il y a deux grands joueurs Tim Duncan et David Robinson, jouer avec eux, ça va me changer du championnat de France. C'est évident, ils vont me rendre le jeu plus facile".
Malgré des débuts assez difficiles à 19 ans dans la plus grande ligue du monde, Tony ne se décourage absolument pas et continue à travailler, "Au départ, mon objectif était de devenir le meneur titulaire dans la deuxième partie de saison, après le All-Star Game à Philadelphie en février, mais comme j’ai bien joué à l’entraînement, le coach a décidé de me mettre dans le cinq de départ dès le cinquième match. Popovich disait que l’équipe jouait mieux lorsque j’étais sur le terrain. C’est pour ça que tout est allé si vite"
Cet état d'esprit termine par payer, TP est de plus en plus respecter par ses partenaires, mais il gagne également la confiance de son entraineur Gregg Popovich.

Avec les tours jumelles, Duncan et Robinson, Tony mène les Spurs au titre de champion de la division Midwest au terme de la saison régulière. Place aux play-offs, où Seattle et Gary Payton promettent l’enfer au Frenchie. Les compteurs remis à zéro, une nouvelle compétition commence. Mais TP, lui, ne change pas. Opposé à l’un des meilleurs meneurs de jeu du monde, le n°9 des Spurs dépasse le maître. 17,2 pts par match à 50% de réussite aux tirs dont 53,3% à trois points... Tony Parker entre dans la cour des grands dès sa première saison. Rien ne semble pouvoir l’arrêter… hormis la bande à O’Neal et Bryant, qui stoppe une nouvelle fois les Spurs en demi-finale de Conférence (4-1). "L’année prochaine, je veux gagner le titre avec les Spurs", prévient Tony, qui aura vu sa saison marquée par une présence au All-Star Rookie et dans le meilleur cinq des rookies.

Pour sa deuxième année, Tony est attendu, les autres franchises NBA l'attendent.
Les Spurs font une belle saison grâce à TP mais aussi au natif des Iles vierges, Tim Duncan qui se voit remettre pour la deuxième saison consécutive le titre de MVP de la saison régulière.
Les playoffs commencent, les Spurs tombent sur Phoenix, c'est face à sa bête noire Stephon Marbury et les Suns que le numéro 9 a des difficultés dans les trois premiers matchs, mais il se réveille par la suite.

Plus tard, les Spurs gagnent leur billet pour la demi-finale contre les Lakers.
A la recherche d’un quatrième titre consécutif, Los Angeles annonce la couleur en prédisant une victoire 4-0. La bande à O’Neal et Bryant tombe de haut dès le premier match en s’inclinant (87-82) au SBC Center. "Les Lakers parlent toujours beaucoup, on ne va pas les changer ", déclara Tony à l'époque, dont le compteur est resté bloqué à 9 points. 48 heures plus tard, alors que tout le monde attend une réaction des Lakers, San Antonio pulvérise la bande à Phil Jackson avec un incroyable 56% aux shoots, dont 57% à 3 points. "Ce n’est pas tous les jours que le cinq de départ reste sur le banc face aux Lakers pour le dernier quart-temps. C’est clair, c’était royal. Il était difficile d’espérer mieux ", s’exclame TP après cette démonstration (114-95).
Changement de décor au Staples Center. Après avoir surclassé le match 3, les Lakers trouvent les ressources nécessaires pour égaliser à 2-2 après avoir touché le fond.
Par la suite San Antonio met à terre le champion en titre, Los Angeles quitte les playoffs 2003 par la petite porte. Ce qui emmène la franchise texane en finale de conférence Ouest.

La finale se déroule contre les Mavs de Dallas, la série est remporté par San Antonio, grâce à un Tony Parker de très bonne facture (29 points, 8 rebonds, 3 passes et 2 interceptions) dans le match numéro 1, par la suite il attrape une grippe, mais Tim Duncan et les autres se débrouille bien.

Les Finales NBA sont atteintes, la tache s'annonce ardu face aux Nets. La clé du titre tourna principalement entre le meneur de New Jersey, Kidd et Tony.
Le ton est donné dans cette finale NBA, présentée comme un duel entre l'actuel meilleur meneur de jeu du monde et TP, tout juste âgé de 21 ans. Auteur d'un match exceptionnel, Tim Duncan rappelle à tout le monde dans le Game 1 qu'il a été élu MVP de la saison régulière et que sa présence dans la raquette peut-être la clef de cette finale : 32 points, 20 rebonds, 6 passes et 7 contres. TP n'est pas en reste puisqu'il marque 16 points, tout en limitant Jason Kidd à 10 points.
Dans le game 2, Jason Kidd répond de la plus belle des manières, 30 points et la victoire aux Nets de deux petites unités (87-85) au SBC Center, Tony continue à flamber en marquant 21 points. Avec trois matchs à suivre à New Jersey, San Antonio n'a pas le droit à l'erreur et compte sur Tim Duncan, transparent dans le Game 2, pour relancer la machine. Mais comme à son habitude, oubliant toute pression, Tony fait plier a lui tout seul les Nets dans le Game 3 avec 26 points, "On va dire que j'étais encore très chaud ce soir"(rires).
San Antonio redescend très vite sur terre en perdant d'un point le Game 4 (77-76). Avec un seul panier sur douze tentatives, TP termine la rencontre avec seulement 3 petits points.
Match 5, la bande à Duncan remporte la partie 93-83.
Le 15 juin 2003, en dominant pour la dernière fois les Nets, San Antonio est sacré champion NBA. "Franchement, c'est énorme" hurle Tony, "Je rêve de ça depuis que je suis tout petit. C'est trop fort, je suis trop content. J'ai dû mal à décrire ce que je ressens, c'est tellement fort ce que je suis en train de vivre. Dans les vestiaires, j'étais comme un fou. Je ne voulais pas la lâcher la Coupe", déclare le nouveau champion NBA, quelques heures après la victoire. "Pour moi, ce n'est que le début. On va enchaîner maintenant ! Je suis jeune, Tim (Duncan) aussi. On va essayer de faire une dynastie. Et à titre personnel, je veux devenir All-Star. De toute façon, ce n'est pas fini. J'ai encore plein de trucs à faire".
A ce moment là Tony est loin d’imaginer la suite...

L'année après le cinq de départ est renouvelé à 50%, l’objectif des Spurs est simple : réaliser le doublé. Pour cela, les hommes de Popovich ont 82 matches pour trouver leur rythme de croisière avant le début des play-offs. Sans Tony Parker blessé quelques jours avant à la cheville contre les Knicks en match de présaison que les Spurs ouvrent la saison face à Phoenix. Tony assiste à la victoire des siens du banc, avec la bague de champion au doigt. Ce n'est rien, le pire arrive peu de temps après, seulement dix jours de compétition, l’infirmerie est pleine à craquer. "Si ça continue, Pop (Ndlr. Popovich) va finir avec une crise cardiaque. Vous vous rendez compte, on a perdu Tim Duncan (entorse de la cheville), Anthony Carter (tendinite au genou, absent) et Alex Garcia (blessé au pied) ! On n’a plus de meneurs dans l’équipe ! Il n’y a pas d’autre mot : on est dans la m… " concède Tony.
Les playoffs 2004 se passe pas très bien pour San Antonio qui est éliminé en demi-finale de conférence contre Los Angeles, qui en a profité pour se venger.
Tony et Tim sont encore à la hauteur, mais le reste de l'équipe n'a pas suivit.

Le contrat de TP chez les Spurs se termine dans une saison, Peter Holt, le propriétaire des Spurs, va jouer au poker menteur avec lui en pleine préparation de la saison. Mark Fleisher, l’agent de Tony, et les Spurs entament des négociations sur le nouveau contrat de Tony. Pour éviter de voir TP s’envoler sous d’autres cieux l’été suivant, les dirigeants de San Antonio espèrent régler l’affaire avant le 1er novembre, date buttoir pour trouver un accord. Mais la proposition des Spurs ne satisfait pas Tony. Finalement, à quelques heures de la clôture des transferts, le coup de téléphone tant attendu arrive. "Je suis trop content. J’ai du mal à exprimer ce que je ressens. Il y a eu tellement de retournements de situations… Ces derniers jours, je croyais que ça allait se faire. Mais aujourd’hui, je n’y croyais vraiment plus. J’étais un peu énervé à l’entraînement. Je me disais que j’allais être free-agent l’été prochain et qu’il me restait plus qu’à donner le maximum cette année pour intéresser d’autres équipes. Finalement, les Spurs m’ont appelé en début d’après-midi pour me dire que c’était bon, que le Président (Peter Holt) avait craqué. Maintenant, c’est fait, je suis un Spurs pour les six prochaines saisons. Et j’espère vraiment y terminer ma carrière", déclare Tony.Le contrat en poche, Tony pense aborder la saison sereinement. Le contraire va se produire. Souhaitant montrer aux Spurs qu’ils ne s’étaient pas trompés en investissant 66 millions de dollars, Tony, inconsciemment, ne joue plus naturellement. Après un mois de galère, le vrai TP est de retour, en alignant les performances. En jouant de la sorte, le n°9 des Spurs peut désormais espérer une participation au All Star Game en février. "Les douze premiers matchs m’ont fait très mal. Maintenant, avec la série que je viens de réaliser, je sais que j’ai une chance d’être à Denver. Steve Nash est le meilleur passeur de la Ligue, il est clair qu’il sera choisi par les coachs. Après, le dernier billet va se jouer entre Sam Cassel, Mike Bibby et moi ", expliquait Tony le 5 janvier après une écrasante victoire face aux Lakers. Finalement, à la surprise générale, aucun autre meneur de jeu ne viendra renforcer l’équipe de la conférence Ouest. Les Spurs auront tout de même deux joueurs présents à Denver, Tim Duncan et Manu Ginobili.Les Spurs attaquent la dernière ligne droite avant les playoffs avec l’espoir de coiffer les Suns sur le fil pour la première place de la Conférence Ouest. Malgré les prouesses de TP (record de points contre Golden state avec 35 unités), les blessures à répétition de Tim Duncan (entorse de la cheville) et la fatigue de Manu Ginobili sont de trop. L’attirail offensif de Phoenix ne craque pas.

San Antonio retrouve donc au 1er tour Denver, l’épouvantail de la Ligue depuis le All Star Game. "C’est l’équipe en forme du moment. Ils ont terminé la saison en trombe, avec 24 victoires sur les 28 derniers matchs. L’arrivée de Georges Karl leur a fait énormément du bien. Ils jouent très bien au basket et contre nous, ils répondent à chaque fois présents. C’est pour ça, je trouve que cette série ressemble à celle de Phoenix il y a deux ans (victoire des Spurs au 1er tour, 4-2). Je m’attends donc à une série difficile à négocier. Il va falloir faire très attention " raconta Tony. C’est en cinq matchs que les Spurs se qualifieront. Surpris d’entrée à domicile, San Antonio réalise un sans faute par la suite, avec un game 4 d’anthologie, gagné après prolongation (TP marque 9 des 11 points des Spurs).

La série suivante face à Seattle semble être une formalité pour les hommes de Popovich, vainqueurs des deux premiers matchs à la maison. Un sursaut d’orgueil des Sonics relance la série. A 2-2, Ray Allen et ses coéquipiers commence à parler dans la presse. San Antonio ne rentre pas dans ce jeu et répond… sur le parquet en s’imposant au SBC Center dans le Game 5. Tim Duncan finit le travail à Seattle en rentrant le shoot de la victoire à la dernière seconde.


à suivre dans le prochain post (cause dossier trop long).

Place au choc tant attendu, Phoenix-San Antonio. L’attaque contre la défense. Depuis les Lakers des années 80, plus aucune équipe n’a réussi à remporter un titre NBA en basant son jeu sur l’attaque. Contre toute attente, San Antonio prend Phoenix à son propre son jeu et réalise un festival offensif. Incroyable. Trois matchs, trois victoires des Spurs. Phoenix comprend qu’il lui faudrait un miracle pour renverser la tendance. La victoire dans le Game 4 ne sera pas suffisante, les Spurs se qualifient pour la finale NBA grâce à un succès 4-1. "Je suis heureux, explique Tony dans l’avion du retour, parce que je regarde Glenn Robinson et Tony Massenburg qui ont tous les deux un grand sourire. C’est la première fois qu’ils vont en finale NBA et ça se voit. Ca me fait vraiment plaisir. Ca me rappelle 2003 quand je disputais ma première finale".

San Antonio-Detroit. Les deux meilleures défenses de la Ligue face à face, les deux derniers champions en titre. La lutte s’annonce acharnée. Le combat tant attendu n’a pas lieu. San Antonio plombe les Pistons lors deux premières rencontrent à domicile avec un Ginobili de feu. Champion olympique à Athènes, MVP du tournoi et sélectionné au All Star Game, l’Argentin a pris une nouvelle dimension. Alors que tout le monde s’attend à une finale à sens unique, les Pistons réagissent dans leur salle et infligent deux corrections aux Spurs. 2-2, tout est à recommencer.
Le Game 5 s’annonce décisif au Palace d’Auburn Hills. L’égalité est parfaite à la fin du quatrième quart-temps. « Mister big shot » (Robert Horry) prend alors le match à son compte en enchaînant les tirs primés. A 6 six secondes de la fin de la prolongation, Horry plante un nouveau shoot à 3 points et permet aux Spurs de prendre l’avantage d’une unité, ce tir est aujourd'hui gravé dans les mémoires dans fans de basket NBA. Une dernière défense de TP sur Hamilton scelle le sort de la rencontre. Touché Detroit trouve les ressources nécessaires pour s’imposer à San Antonio dans le match 6. Le titre se jouera donc lors du dernier match, ce qui n’était plus arrivé depuis 1994 et la finale Houston-New York.
Le SBC Center retient son souffle. Detroit mène de 9 points dans le 3e quart-temps. Le titre semble s’éloigner du Texas avant que Tim Duncan et Manu Ginobili prennent les choses en main, secondés par un TP gestionnaire. Les fans peuvent exulter, l’équipe de Popovich remporte un troisième titre en sept ans. De son coté, Tony rejoint Magic Johnson et Kobe Bryant avec deux bagues de champion à 23 ans… "C'est vraiment génial. J'éprouve énormément de plaisir. C'est assez incroyable de remporter un titre sur un septième match. Tu ne peux pas rêver d'une plus belle fin. J'ai vraiment l'impression d'être né sous une bonne étoile. Deux titres en quatre ans, il est difficile d'espérer mieux", déclare Tony, qui aujourd'hui peut mourir tranquille.

L'année est parfaite pour Tony qui obtient la médaille de bronze à l'Euro 2005.
Pour la saison 2005-2006, San Antonio espère à nouveau faire le "back to back".La saison régulière est parfaite 63 victoires et 19 défaites, voici le meilleur bilan de l'histoire de la franchise.Lors de cette saison Tony est élu au All star game, la première pour un français, il fit un match moyen en tant que remplacent (8 points).Les playoffs 2006 commencent très bien pour les texans, grosse victoire dans le premier match contre Sacramento au premier tour au AT&T Center (nouveau nom de l'arène des Spurs). Mais la suite tourne à la mayonnaise, San Antonio est rejoint à 2-2, mais la supériorité du champion permet de passer ce tour.Contre Dallas en demi-finale de conférence, les Spurs sont élimés par une belle équipe des Mavericks qui sera nommé vice-championne NBA 2006. Tony et Manu Ginobili déçoivent beaucoup, Tim Duncan prend ses responsabilités, il inscrit plus de 31 points à cinq reprises, mais insuffisant.Le parcours de San Antonio s'achève ici, pas de doublé cette année aussi.

Tony ne participera pas au Mondial 2006 avec les Bleus au Japon, quelques jours avant le départ en Asie le "frenchie" se blesse au doigt, il est indisponible pour plusieurs semaines. La présaison se déroule très bien avec deux matchs en France dans le cadre de l'Europe Live Tour, TP y apparait en forme et avec de meilleurs shoots, provoqués par les entrainements de son entraineur personnel aux tirs, Chip Engelland.Parker mène son équipe à la victoire face à Villeurbanne et contre le Maccabi à Paris-Bercy ou le show est intense, Tony se "permet" même de rater un dunk alors qu'il était absolument tout seul, ce qui va entrainer la colère de son coach.

La saison a commencé depuis quelques semaines, Tony confirme à nouveau son niveau de grand basketteur avec de bonnes statistiques. Pour cette année TP nous montre qu’il a beaucoup progressé aux tirs, il nous le montre à chaque match. Voici que s'achève notre dossier consacré au plus grand français que le basket ait connu. A 24 ans, Tony n'a déjà plus rien à prouver, il a gagné beaucoup de titre que ça soit avec les Spurs ou avec la France.Aujourd'hui personne ne peut arrêter Tony Parker, qui est aujourd'hui l'une des personnalités les plus appréciés auprès des français, mais il est également le sportif français le mieux payé, ce qui surprend les gens. Quand on lui pose cette question Tony répond en disant: "J'ai plutôt envie de poser le problème à l'envers. Est-ce que les gens se rendent bien compte de ce que je réalise aujourd'hui en NBA? Je ne pense pas, parce que je suis à 8000 km d'eux, et que mes matchs ont lieu la nuit. Quand vous voulez voir un match de "Zizou", il suffit d'allumer votre télévision, et vous n'avez plus qu'à apprécier les prouesses de ce joueur hors du commun. Moi, il faut mettre le réveil à 02h00 ou à 03h00 du matin. Ce n'est pas un hasard si je suis surtout soutenu par les jeunes...".

La rédaction de Baller Life espère que ce dossier vous à plu et vous donne rendez-vous prochainement pour un nouveau dossier...

par Mateu Rémy pour www.ballerlife.com

La vache c'est vraiment complet de chez complet !!

Bravo à toi !!

c'est clair!!merci beaucoup!!

vous pensez pas qu'un partenariat avec Baller serait pas mal?

Il est déjà réalisé !!

Et Tduncan fait déjà parti de notre équipe de rédacteurs !!

Je suis content qu'il vous plaisent.

Franchement, c'est du beau boulot (du moins je trouve).

bien

Je t'applaudie juste pour la longueur et en plus, c'est vraiment complet donc je t'applaudie encore une fois

ouaip bien long cette article!
merci pour ca mek!bravo